(20-03-2016, 16:14)Chusss escribió:

(20-03-2016, 16:02)HUNT escribió: Cobsideraciones, después de ver el accidente de Fernando y la carrera de hoy:
1º En Cataluña a Alonso le pasó algo que no tuvo nada que ver con las desaceleración por las fuerzas G.
2º Mclaren es infeirior, incluyo a Hass y a Renault también.3º Para mí la solución no es tres juegos de neumáticos sino uno solo que alcance 1/2 de carrera y basta ya de tantos rollos con estrategia, el espectador foráneo de la F1 se pierde.
4º Las clasifiaciones un desastre.
5º No tengo ni la más mínima que si el accidente hubiese sido "provocado" por Alonso en vez de por Guitierrez habría sido sancionado, por que Gutieerez le tapa primero el interior y luego el exterio.
6º Que alguien me explique la reducción de la información de los ingenieros a los pilotos por la radio.
7º La F1 continúa siendo aburrida

Una imagen vale mas que mil palabras

(20-03-2016, 16:28)enrike hu fr escribió: menos mal que cambio ,,,diria yo ,,  

(20-03-2016, 16:48)gandalf escribió: Un crack el madriles.....mi expalmero.....

(20-03-2016, 16:52)gandalf escribió: Menudo enlace....
plasplasplasplas

(20-03-2016, 17:16)ldg escribió: L’Allemand, qui s’est imposé en Australie après avoir effectué une stratégie à un arrêt en raison du drapeau rouge, a devancé son coéquipier Lewis Hamilton de 8 secondes. Déjouant tous les obstacles d’une course piégeuse, Rosberg est pourtant passé très près de l’abandon, comme l’a expliqué Toto Wolff.

"Nous avions un problème avec les températures de l’étrier de frein sur la voiture de Nico, elle n’a pas cessé d’augmenter, presque jusqu’à un niveau où nous pensions à lui dire d’abandonner", a précisé Wolff. "C’était aux deux-tiers de la course, ça provenait de débris dans l’étrier. Ensuite, ça s’est stabilisé à cette valeur maximale. Puis ça a commencé à redescendre, très lentement, et nous sommes revenus à la normale. Mais à un certain moment, c’était très difficile à gérer pour

La victoire de Nico Rosberg s’est dessinée quand le pilote allemand a chaussé les gommes mediums durant l’interruption de la course au drapeau rouge. Un véritable pari, que Mercedes ne pensait pas forcément réussir, croyant qu’un deuxième arrêt serait nécessaire.

"À 15 tours de la fin, nos calculs montraient que les pneus ne dureraient pas. À cinq tours de la fin, le pneu arrière gauche aurait pu s’effondrer. Et les températures ne cessaient de chuter tour après tour. Notre gars chargé des pneumatiques nous a dit : 'Cinq tours avant la fin, c’est comme ça'. Et on ne pouvait pas vraiment leur dire d’aller moins vite car cela aurait fait chuter encore plus les températures des pneus. Nous avons perdu beaucoup de grip sur le pneu arrière gauche, mais c’est juste un seul des quatre pneus et nous avons pu aller jusqu’au bout."

Pour Mercedes, le Grand Prix avait mal débuté dès l’extinction des feux, quand Rosberg et Hamilton se sont fait griller la politesse par les deux Ferrari de Vettel et Räikkönen.

"Hier, nos simulations de départ n’était pas très bonnes", a révélé Wolff. "Nous n’étions pas très sûr du fait que cela cause un problème en course ou non. Honnêtement, je ne sais pas ce qui s’est passé au départ, nous devons analyser ça et nous regarderons tout ça


À 15 vueltas del fin del GP , estuvieron a punto de parar a Rosberg por calentamiento máximo en la zona de frenos,  à causa de un pequeño trozo de otro  coche que quedaba en pista ....